Selasa, 08 Januari 2019

Télécharger Le paradoxe démocratique, by Chantal Mouffe

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Le paradoxe démocratique, by Chantal Mouffe

Détails sur le produit

Poche: 136 pages

Editeur : ENSBA (23 mai 2018)

Collection : D'art en questions

Langue : Français

ISBN-10: 2840565315

ISBN-13: 978-2840565314

Dimensions du produit:

16 x 0,6 x 12,1 cm

Moyenne des commentaires client :

2.0 étoiles sur 5

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Classement des meilleures ventes d'Amazon:

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Chantal Mouffe se propose dans cet ouvrage de fournir une alternative au cadre qui domine aujourd’hui la théorie politique de la démocratie. Elle tente pour cela tout d’abord de définir rapidement la configuration moderne établie en occident. Pour ce faire, elle distingue en peu de phrases la démocratie comme forme de gouvernement et le cadre symbolique au sein duquel le gouvernement s’exerce. Ce qui à son sens rend modernes les agencements actuels, c’est la forme démocratique qui implique l’égalité ainsi que l’exercice du pouvoir par le peuple ; mais c’est aussi le cadre symbolique libéral qui impose les valeurs de liberté individuelle et des droits de l’homme. C’est cette symbiose conflictuelle entre liberté et égalité (qui sans autre forme de procès et en quelques mots seulement « acte que la démocratie directe n’est plus possible » et que « la démocratie libérale semble reconnue comme la seule forme légitime de gouvernement » (sic)), que Chantal Mouffe, contre les « populismes » mais aussi contre les théories contemporaines de Rawls et Habermas, tente de défendre. Elle entreprend de définir pour cela, s’inspirant des travaux de Wittgenstein, Dérida et de l’infréquentable ami d’Hermann Göring : Carl Schmitt, les conditions de possibilité et de stabilité de la « démocratie libérale moderne » menacée.Les essais rassemblés dans ce petit volume, une fois cette forme et ce cadre contemporains établis et admis par l’auteure, traitent des deux logiques incompatibles existant entre libéralisme et pouvoir populaire, entre liberté et égalité. Pour la démocratie libérale en effet la souveraineté populaire est facultative et nécessite, au nom de la liberté individuelle, de l’inviolabilité du droit de propriété ou des vertus suprêmes du marché, d’établir des limites à la souveraineté ; tandis que pour la démocratie « populaire », la liberté, au nom de l’égalité, peut se voir entravée. Conserver l’articulation entre liberté et égalité, pas comme une contradiction destructrice mais comme un paradoxe, et ne renoncer ni à l’un, ni à l’autre est (rien que cela et contre toute attente) l’ambition de la philosophe postmarxiste.Chantal Mouffe constate avec d’autres que le modèle agrégatif actuellement dominant est usé jusqu’à la corde. Pour les tenants de ce système, le bien commun, la volonté générale sont des leurres. Parce qu’il y a pluralisme des valeurs, parce que l’intérêt particulier est ce qui prime et motive les individus, la participation populaire se doit d’être découragée. Pour ce courant, l’agrégation des préférences autour des partis politiques et de leurs leaders, la démocratie réduite à une suite de simples procédures permettent seules la stabilité, l’ordre et le leadership de certains intérêts. C’est cette mise à l’écart des citoyens de la gestion des institutions politique et la privatisation de la vie qui semblent actuellement poser problème.Chantal Mouffe examine, forte de ce constat, qu’elles sont aujourd’hui les propositions, prenant en charge à la fois la liberté et l’égalité, qui permettent de consolider les institutions démocratiques usées. Elle considère pour cela les conceptions de la démocratie participative où les décisions sont prises entre citoyens libres et égaux et notamment les théories normatives de Rawls et délibératives d’Habermas. D’après Rawls, une société bien ordonnée fonctionne selon les principes fondés sur une conception partagée de la justice ; pour Habermas, c’est un régime politique tenant sa légitimité de la pensée rationnelle qui assure ce bon fonctionnement. Pour tous les deux, ce sont des procédures délibératives adéquates qui autorisent des formes d’accords qui satisfassent la rationalité – rationalité entendue comme défense des droits libéraux et comme exercice de la souveraineté populaire. Les démarches de Rawls et Habermas consistent donc à réinterpréter en termes intersubjectifs – pour éliminer les dangers qu’il pourrait représenter pour les valeurs libérales – le principe de souveraineté. Ils définissent ainsi ce principe, en réfutant le caractère contradictoire du libéralisme démocratique, comme le pouvoir généré par les communications. Il est en effet possible pour eux de fonder, en une forme de rationalité, l’autorité et la légitimité sur certaines formes de raisonnement public et de croyance partagée : le raisonnable pour Rawls et la rationalité communicationnelle pour Habermas. Dans ce contexte, la politique est assimilée par nos deux chercheurs aux échanges d’arguments entre individus libres, égaux, rationnels, guidées par le principe d’impartialité ; et les institutions démocratiques sont considérées comme éminemment capables de décisions prises dans l’intérêt de tous avec l’assentiment accordé librement par tous.Chantal Mouffe partage les inquiétudes des délibératifs mais n’agrée pas aux solutions qu’ils proposent. Wittgenstein permet en effet à l’auteure de révéler et de surmonter très efficacement les limites du cadre rationaliste proposé par Rawls et Habermas. Le philosophe de la logique et du langage conteste en effet la possibilité d’un dialogue neutre et rationnel. Le contenu défini que l’on peut trouver dans une délibération contractualiste dérive toujours pour ce dernier des jugements particuliers correspondant à des pratiques de vie particulières. Etre irrationnel, c’est ne pas partager suffisamment de croyances et d’aspirations avec son interlocuteur. Pour qu’il ait accord des opinions, nous dit Wittgenstein, il faut d’abord qu’il ait accord sur le langage utilisé et par conséquent sur une forme de vie. C’est parce qu’elles s’inscrivent dans des formes de vie et des accords de jugements partagés que des procédures peuvent être acceptées et suivies. Ce qui est primitivement en jeu avec la démocratie, ce n’est donc pas la rationalité mais des croyances partagées et un contexte commun. Wittgenstein démontre également qu’une règle générale et son interprétation n’implique aucunement une application convenable. Il n’y a donc pas, là aussi, de consensus rationnel possible fondé sur des principes universels. Ce qui est déterminant dans la démocratie ce ne sont pas les principes généraux mais les pratiques applicatives. Wittgenstein affirme enfin que l’arrêt d’un échange relève toujours d’un choix personnel exclusif, pas d’une mise en œuvre d’une procédure. Cette conception Wittgensteinienne exclue donc la possibilité rawlsienne, habermassienne en démocratie d’une résorption complète de l’altérité dans l’unité et l’harmonie. L’œuvre de Dérida s’avère également pertinente pour critiquer l’approche rationaliste. L’extérieur constitutif du philosophe déconstructiviste permet à Chantal Mouffe d’appréhender l’antagonisme, tandis que sa distinction du nous et du eux lui permet de rendre compte des nécessaires identités politiques collectives. Chaque objet inscrit dans son être même autre chose que lui-même et tout se construit comme différence ; par conséquent, l’être ne peut être conçu comme pure objectivité. Toute objectivité sociale est politique et porte les traces des actes d’exclusion – extérieur constitutif – qui régissent sa constitution. Dans la perspective de la déconstruction également, « l’indécidable reste pris, logé comme un fantôme essentiel dans toute décision, dans tout évènement de décision. Sa fantomaticité déconstruit de l’intérieur toute assurance de présence, toute certitude ou toute prétendue critériologie nous assurant de la justice d’une décision. ». Il faut pour toutes ces raisons renoncer à toute idée d’un consensus inébranlable fondé sur la justice et la raison. Il n’y a pas de consensus rationnel, c’est-à -dire fondé sur aucune forme d’exclusion.Chantal Mouffe propose quant à elle un modèle dit « agonistique » de la démocratie qui, croit elle, tient compte des antagonismes, des rapports de pouvoir constitutifs du social, des exclusions-inclusions, des conflits qui en résultent et de leurs caractères indéracinables ; un modèle, croit elle, plus démocratique, ouvert à la contestation où aucun acteur social donné ne peut s’attribuer la représentation de la totalité, où les acteurs reconnaissent le particularisme et les limites de leurs revendications et où le légitime et ce qui ne l’est pas peuvent être contestés ; un modèle qui ne nie pas la domination et la violence mais qui permet de les limiter; un modèle enfin capable de considérer le caractère paradoxal de la démocratie et la tension existante entre logique libérales et logique égalitaire mais qui cependant renonce à l’idée d’égalité simple qui tend à rendre les individus aussi égaux que possible dans tous les domaines. Le problème véritable pour Chantal Mouffe est celui de l’allégeance (sic) aux institutions démocratiques libérales et donc la constitution d’un ensemble de pratiques rendant possible la création (sic) de citoyens démocratiques. En effet pour notre universitaire, la croyance (sic) en les institutions ne dépend pas des fondements intellectuels mais des affects. Pour elle, l’autorité des institutions politiques n’est pas une question de consentement mais de reconnaissance permanente de la part des citoyens qui acceptent d’obéir (sic) aux conditions prescrites dans la république. La politique de son point de vue consiste à domestiquer (sic) l’hostilité et à tenter de désamorcer l’antagonisme, créer l’unité dans un contexte de conflit et de diversité ; il faut un modèle qui assure la stabilité. L’antagonisme pour Chantal Mouffe est une lutte entre ennemis, l’agonisme une lutte entre adversaires. Le but de la démocratie est de transformer l’antagonisme en agonisme, il est d’offrir des canaux au travers lesquels les passions collectives peuvent s’exprimer et qui, tout en permettant l’identification, ne font pas de l’opposant un ennemi mais un adversaire.Chantal Mouffe n’applique malheureusement pas ses outils conceptuels à sa propre pensée. Dans notre désir de maitrise totale, dit Wittgenstein, « nous sommes engagés sur la glace glissante où manque la friction, donc où les conditions sont idéales en un certain sens, mais où en revanche, à cause de cela, nous ne pouvons marcher. Or nous voulons marcher ; nous avons alors besoin de friction. Retournons aux sols raboteux ». Chantal Mouffe, pour conserver la métaphore, fait incontestablement partie de la corporation si nombreuse des cireurs de parquet. Elle ne ménage d’ailleurs pas ses efforts, lustre et change le nom des choses croyant sans doute changer les choses elles-mêmes : dans son livre antagonisme est transformé en agonisme, ennemis en adversaire. Son obsession est celle de la stabilité, de l’immobilisme : l’allégeance, la reconnaissance permanente, la domestication de l’hostilité, le désamorçage de l’antagonisme, l’unité sont sans cesse mis en avant. Dans la situation actuelle de défaite des luttes contre les puissances financières, situation où le train du changement se trouve en effet dangereusement à l’arrêt, Chantal Mouffe ne s’évertue pas à redémarrer la locomotive, elle remue avec beaucoup d’énergie les wagons pour donner une impression de mouvement. Elle reconnait les antagonismes mais haïssant la mobilité, elle les croie réconciliables. Max Weber, qu’elle site, fait en effet état de valeurs contraires comme liberté et égalité mais ce n’est pas pour les concilier, les mettre à égalité comme notre professeur le croit, elles sont inconciliables, inégales : le renard libre dans le poulailler libre, c’est un vieux rêve libéral. Le sociologue allemand nous invite tout au contraire à un choix de valeur. Chantal Mouffe, donnant à juste titre toute sa place aux affects, se propose enfin de créer des citoyens, de faire obéir, de domestiquer, de produire en quelque sorte des désirs et une servitude passionnelle. Elle appelle de ses vœux une ingénierie des affects (épithumogénies).Comme on le voit, une vie humaine, qui suppose des hommes, non sous l'emprise de la passion mais conduits par la raison, n’est pas précisément son objectif. Si Chantal Mouffe malgré la vacuité de son propos, trouve des échos dans le mouvement social nous devons cependant bien admettre qu'elle n'est pas parvenue à une telle réussite malgré ses déficiences mais grâce à elles. C'est le conformisme de l’universitaire qui nous séduit. Couardise, renoncement, suivisme... toutes ces dérives travaillent une partie de la gauche; elles ne représentent pas la totalité de la vie sociale mais sa face noire, elles manifestent son état d'imbécillité et d'angoisse.

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